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Dans sa monographie rédigée en 1888, l'instituteur de Villers-sous-Prény indiquait que le Foulon était un moulin et une scierie mécanique. Il devait son existence à un nommé Jean Bachot qui, en 1785, obtint l'autorisation d'établir une tannerie et un foulon à draps sur le ruisseau du Trey. (Cliché mai 2024)
En arrivant à Villers-sous-Prény, nous entrons dans le Parc Naturel Régional de Lorraine. (Cliché mai 2012)
Le ruisseau du Trey est fréquenté principalement en amont par des salamandres. Il attire également grenouilles et crapauds. La truite y est reine, se nourrissant notamment de chabots. On y trouve aussi une petite anguille, la lamproie ainsi que l'écrevisse pied-blanc, espèce autochtone concurrencée par l'écrevisse du Pacifique. (Cliché mai 2012)
Le ruisseau du Trey, qui traverse Villers, prend sa source sur le territoire de Thiaucourt-Regniéville et s'écoule sur une longueur de 8,9 kilomètres avant de se jeter dans la Moselle. (Cliché mai 2012)
La statue de saint Blaise, chrétien supplicié en 316, domine l'entrée de l'église du village. Elle remplace celle volée en 1992. Au-dessous, nous pouvons lire l'inscription :"icy est la maison de Dieu la porte du ciel." (Cliché mai 2012)
L'église saint Blaise fut reconstruite en 1766 à l'emplacement de l'ancienne église datant des XIIIème-XIVème siècles par la volonté du curé Vauthier. (Cliché mai 2012)
Ce monument funéraire, dénommé "Tombe des curés" par les habitants du lieu, a été érigé à la mémoire de Nicolas Lambaux, né à Villers le 19 janvier 1735, curé de ce village décédé en ce lieu le 9 mars 1815. (Cliché mai 2012)
Sur l'un des côtés de ce monument funéraire, nous pouvons lire l'inscription gravée : "Cette croix restaurée en souvenir de Mr Lambaux est en même temps un souvenir d'une mission terminée le 8 déc. 1879 25e anniversaire de la proclamation du dogme de l'immaculée conception indulgences plénières 1°8 déc. ou dimanche suivant 2° invention et exaltation de la ste croix indulgences partielles 1° 7 ans et 7 quarantaines - 7 ave à n. d. des 7 douleurs 2° 300 jours - 5 pater, ave, gloria en l'honneur des 5 plaies de n.s.". (Cliché mai 2012)
Marguerite était la fille du comte de RAUGRAVE, Comte de Salm et du Saint Empire, et de Barbe Gabrielle de GOMBERVAUX dame de Villers sous Prény, Vandières, et autres lieux. Elle épousa le 6 mars 1769 à Villers-sous-Prény Jean Antoine d’Hilaire de Toulon de Saint Jalle marquis de JOVIAC colonel des grenadiers royaux. Elle décéda chez sa petite-fille, Madame Bailly. (Cliché mai 2012)
Le dimanche 27 février 1944, quatre militaires du Commonwealth furent inhumés en présence de 4000 à 5000 personnes qui assistèrent aux funérailles malgré les menaces de l'occupant allemand. Le maire de Villers, Ernest Sophron, fut condamné à payer une amende de 3000 francs par les Allemands pour avoir autorisé le déroulement de cette grande cérémonie. (Cliché mai 2012)
Ce troupeau de vaches paisse paisiblement dans le pré situé à proximité de l'ancienne maison seigneuriale de Villers, certaines toutefois placées en cercle afin de prévenir l'arrivée d'un éventuel danger qui proviendrait de n'importe quelle direction. (Cliché mai 2012)
L'entrée de l'ancienne maison seigneuriale de Villers dans laquelle naquit le 19 février 1780 le comte Barbe-Hyacinthe de Raugrave qui légua lors de son décès survenu le 26 novembre 1839 une partie de sa fortune aux pauvres et à plusieurs communes. Villers-sous-Prény reçut 6000 francs destinés à l'instruction publique. (Cliché mai 2012)
Le monument aux Morts de Villers-sous-Prény fut érigé par une entreprise de Thiaucourt. Les quatre obus, pesant chacun 240 kg et placés aux angles, ont été achetés en 1936 au Parc régional de réparation de Besançon. (Cliché mai 2012)