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En l'an 2000, une assiette fut réalisée représentant, dans sa partie supérieure, le quartier de la gare, bâti sur la rive droite du Rupt-de-Mad, en 1900. La partie inférieure présente le village, côté rive gauche, en 2000. (Cliché octobre 2018)
Ce petit coin se trouvant à l'entrée du village, dans la rue de Waville, est régulièrement décoré à l'aide de matériaux naturels ou de récupération. En ce début de mois de décembre 2020, il ne manquait plus que la neige pour parfaire ce tableau de fête de noël.
Le 2 décembre 2018, Joël Becker, fauconnier domicilié à Rembercourt, est venu présenter lors du marché de noël organisé à la salle du village quelques-uns de ses rapaces, notamment un faucon pèlerin ainsi qu'une buse d'Harris, volatile originaire d'Amérique centrale où il est apprécié pour sa capacité à faire fuir étourneaux et pigeons.
Ce samedi 27 avril 2019, damoiseaux et gentes dames s'étaient donnés rendez-vous à la salle de Rembercourt pour partager un repas médiéval, entrecoupé d'animations comme la lecture d'un poème du Moyen-âge par les enfants, l'intervention du fauconnier Joel Becker et de ses rapaces, la présentation d'une arquebuse ainsi que le spectacle assuré par les chevaux de Laurence Puret.
Le monument aux morts a été réalisé par A.Colère, entrepreneur et marbrier de Nancy, et A. Iung, fondeur de la rue Turique à Nancy. Le 8 mai 2018, il fut fleuri par Alain Klimczack, habitant du village.
Les habitants, réunis autour de leur maire, Paul Carpentier, commémorent le centenaire de l'armistice du 11 novembre 1918.
Le 11 novembre 2018, les adjoints au maire, Marianne Cavagni et Hervé François, fleurissaient le monument aux morts au nom de la commune.
Bâtie avant le XVe siècle, l'église Saint Gengoult a été agrandie au XVIIIe siècle. Le clocher date du XIXe siècle. Fortement endommagée lors de la Première guerre mondiale, elle fut restaurée au début des années 1920. (Cliché juin 2021)
L'église dédiée à saint Gengoult, martyr champenois très vénéré en Lorraine, autrefois entourée d'un cimetière, a été bâtie avant le XVème siècle tout en subissant diverses modifications à travers le temps. (Cliché septembre 2015)
Au mois d'août 2019, un chantier international rassemblant une dizaine de jeunes âgés de 18 à 25 ans a permis la restauration d'une portion du mur en pierre sèche bordant le chemin des vignes. Les jeunes, originaires de divers pays du monde, ont travaillé sous la houlette de deux maîtres muraillers.
Du 19 au 29 août 2019, dans le cadre du programme Interreg Va, a été rénovée par une dizaine de jeunes venus du monde entier, une portion du mur en pierre sèche soutenant le chemin rural conduisant de Rembercourt à Charey. Ce chantier a été possible grâce à l'engagement de la commune de Rembercourt, soucieuse de la préservation et de la valorisation de son patrimoine rural. (Cliché août 2019)
Les dix jeunes formant l'équipe internationale chargée de restaurer le mur en pierre sèche situé à proximité du cimetière travaillaient de huit heures à treize heures. L'après-midi était consacré à la découverte des sites naturels et patrimoniaux du secteur. (Cliché août 2019)
Au mois d'août 2019, une équipe internationale de jeunes volontaires a restauré une portion du mur en pierre sèche bordant le chemin des vignes dans le cadre d'un chantier organisé par le Parc Naturel Régional de Lorraine. Les dix jeunes étaient originaires de France, Russie, Italie, Turquie, Allemagne, Japon et Espagne. (Cliché août 2019)
Au mois de février 2021, deux artisans de l'entreprise "Les muraillers de la Vallée", Sébastien Claut et Jérôme Perona, ont pris le relais pour poursuivre la restauration du mur en pierre sèche bordant le chemin des vignes. Ils ont utilisé de la pierre de Jaumont, plus légère, plus maniable et moins gélive.
Après deux semaines de travaux, les deux artisans de l'entreprise "Les muraillers de la Vallée" ont achevé la restauration du tronçon de mur en pierre sèche qui leur avait été dévolu. (Cliché mars 2021)
Le chemin des vignes, menant de Rembercourt-sur-Mad à Charey, est soutenu par un mur en pierre sèche. Cette technique est très ancienne. En effet, en France, les Gaulois, cultivateurs renommés, en bâtissaient déjà avant l'arrivée des Romains. Un mur en pierre sèche est un assemblage de pierres qui peuvent être taillées mais sont liées sans aucun mortier. (Cliché mars 2021)
Le cimetière, peu éloigné de l'église, domine le village. Sur ce cliché, datant de juin 2021, nous pouvons apercevoir son portail.
Le 20 décembre 2020, le père Noël est arrivé au village dans une calèche tirée par un cheval. Il a apporté à chaque habitant un paquet de chocolats et les 18 enfants âgés de moins de douze ans ont reçu un livre en cadeau.
Le dimanche 24 juin 2018, lors d'une fête champêtre organisée par l'association Rembercourt Animations, une course en sac de patates a fait le bonheur des enfants.
Le village de Rembercourt-sur-Mad, comme son nom l'indique, est traversé par le Rupt-de-Mad. D'une longueur de 54,6 km, ce ruisseau s'écoule depuis les côtes de Meuse jusqu'à Arnaville où ses eaux se mélangent à celles de la Moselle. (Cliché février 2021)
En ce début de mois de février 2021, les fortes pluies avaient augmenté le débit du Rupt-de-Mad. En rase campagne, son cours avait plus que doublé en largeur.
Peu avant la Toussaint 2019, jour marquant le début de l'hiver dans le calendrier celtique, un groupe de morts-vivants a fait son apparition dans la rue du Moulin. Habillés sur leur 31, les monstres jouaient, dès la tombée de la nuit, quelques airs de piano en souvenir du mariage de leur fiston. (Cliché octobre 2019)
La place de la mairie et la mairie-école du village. (Cliché octobre 2018)
Née de la création en 1882 de la petite ligne de chemin de fer reliant Thiaucourt à Onville, la gare de Rembercourt se trouvait avant 1918 sur la place devant la mairie. Ayant souffert des bombardements français lors de la Première guerre mondiale, elle sera abandonnée à la suite du déplacement de la ligne de chemin de fer à la fin des années 1920.
À la suite de la construction, à partir de 1925, de la ligne reliant Onville à Lérouville, la voie de chemin de fer fut doublée et la gare reconstruite à l'emplacement actuel. Vendue par la SNCF dans les années 1980, cette gare, d'un style de type 1903, est désormais une maison d'habitation. (Cliché juin 2020)