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Le 24 août 2019, une quarantaine de descendants de Nicolas Théophile Maclot, maire de Prény entre 1900 et 1925, se sont retrouvés au village à l'occasion d'une cousinade. Ils étaient venus de Lorraine, de Paris, d'Allemagne ou encore du Canada pour découvrir le village de leurs ancêtres.
La classe de Madame Laurent en 1958 devant la mairie-école de Prény. Nous pouvons y reconnaître, de bas en haut et de gauche à droite : 1er rang : ... ... ; Yvan Jung ; ... Vincent ; Bernard Bazaille ; Jean-Marie Van Meel ; "Bibi" Demicheli ; Yves Padroutte ; Jean-Luc Viscat ; Daniel Terzi ; Bernard Ducret ; 2ème rang : Félicien Demicheli ; Christian Simony ; Gérard Van Meel ; Gérard Przybyla ; ... Toniolo ; Christian Padroutte ; Marc Demicheli ; ... Toniolo ; Michel Maclot ; ... Dubuisson ; 3ème rang : Marie-France Przybyla ; Françoise Tourais ; Francine Ducret ; 4ème rang : Micheline Bazaille ; Jeanine Focosi ; Françoise Peltier ; Josiane Padroutte ; Michelle Hess ; Jeannine Maclot ; Chantal Vincent ; Marinette Simony ; Mireille Colin ; Marylène Vidal ; Jacqueline Viscat ; Ghislaine Vincent.
Né le 20 janvier 1897 à Hénaménil, Gaston Dauphin reçut, au début du mois de septembre 1973, la médaille communale de vermeil. Elle lui fut remise par le docteur Jeanclaude, maire de Pagny-sur-Moselle et conseiller général. Élu au conseil municipal de Prény en 1936, il fut 15 ans conseiller avant d'occuper la fonction de maire pendant 25 autres années de 1945 à 1947, puis de 1953 à 1976, date de son décès.
Le 29 avril 1980 paraissait dans la presse un article concernant l'assemblée générale de l'association Mandeguerre fondée en 1977 par Christiane Jean, Michel Wantz, Roger Bello, Bernard Bazaille, Mireille Colin, Daniel Terzi et Jean-Marie Finck. Sur la photo, nous pouvons apercevoir Serge Simony, maire de Prény de 1977 à 2000, Evelyne Pastor, Marie Retzinger, Mme Levacque, Roger Bello, Claude Bazaille, Mireille Colin, Michel Wantz et Daniel Terzi.
Sur cette photo accompagnant l'article paru dans la presse en 1983, à l'occasion des élections municipales qui virent la reconduction de Serge Simony au poste de maire, nous pouvons reconnaître : Assis : Serge Simony, Christiane Jean. Debout de gauche à droite : Jacques Colin, Gérard Van Meel, André Popielarz, Roger Bello, Michel Wantz, Robert Bouchy, Monsieur Levacque, Jean-Marie Finck et Noël Vautrin.
En 1988, à l'occasion de leur banquet annuel, les anciens du village furent conviés par la municipalité à se retrouver à l'hôtel de l'Est de Pagny-sur-Moselle. Sur cette photographie parue dans la presse, nous pouvons reconnaître assis de gauche à droite : Ferdinand Demicheli ; Georgette Przybila ; Albert Pierson et son épouse. Debout, de gauche à droite : Roland Simony ; Madeleine Focosi ; Roger Mesmer ; Danièle Cormorèche ; Bernadette Tant ; Serge Simony.
Le dimanche 24 mars 1991 paraissait, dans la presse locale, un entretien avec Serge Simony, maire de Prény depuis 1977. Né le 7 octobre 1925 à Prény, dans le foyer du cultivateur Lucien Emile Simony et de Pauline Augustine Charrois, le maire de Prény était entré au conseil municipal du village en 1953. En de début d'années 1990, le village était alors en pleine expansion démographique et les chantiers étaient nombreux.
Les chutes de neige tombées le 30 janvier et dans la nuit du 31 janvier au 1er février ont recouvert le village d'un beau manteau blanc d'une épaisseur de 12 cm obligeant les habitants à dégager le devant de leur maison comme ici dans la rue des Remparts. (Cliché janvier 2019)
Publié dans l'article "Les dommages de guerre de l'école des filles" paru dans le n°132 (juillet 2013) de la revue "Nos villages lorrains" ce plan est consultable aux archives départementales de Meurthe-et-Moselle à la cote WO 2779. Y sont indiqués les emplacements de la maison d'école, de l'école des filles alors en projet, et du presbytère. Nous pouvons aussi y remarquer les murailles du château encore existantes, détruites lors des combats que se livrèrent Allemands et Américains de septembre à novembre 1918.
Sur cette photographie prise au début du XXe siècle, nous pouvons reconnaître : Au 1er rang, assis : (...); Lucien Mossier ; Céline Bazaille, épouse Mossier ; Marie Bazaille, épouse Müller ; Joseph Müller ; Fernand Mossier ; Justine Marmois, épouse Mossier ; Camille Mossier ; Clotilde Bazaille, épouse Müller. Au 2e rang, debout : (...);(...);(...) ; Camille Mossier ; Charles Bazaille ; Elisabeth Toussaint, épouse Mossier ; Edmond Mossier ; Eugène Bazaille ; Joseph Mossier ; Adrien Bazaille ; (...)
Oeuvre de Prosper Morey (27 décembre 1805-5 juillet 1886), architecte né et décédé à Nancy, lauréat du grand prix de Rome en 1831, membre de l'académie de Stanislas à partir de 1850 et correspondant de l'académie des beaux-arts en 1869, représentant du style néo-gothique.
Ce calvaire fut relevé en 1823 à l'initiative du grand propriétaire Jean-Baptiste-François Georges des Aulnois, procureur du roi à Pont-à-Mousson. Sur son socle, nous pouvons lire l'inscription : "D.O.M. PIETATE JOANNIS BAPTISTE FRANCISCI GEORGES DES AULNOIS ERECTA ANNO 1823 O CRUX AVE SPES UNICA".
Cet article, paru dans l'Est Républicain du 9 novembre 1987, présentait le calvaire dédié à Georges des Aulnois. Il fut érigé à l'initiative de ce personnage sous le règne de Louis XVIII. Il remplaçait une croix abattue en 1793 par des révolutionnaires particulièrement excités. Jean-Baptiste François Georges, anobli, avait été autorisé à accoler à son patronyme, Georges, le titre des Aulnois. La famille Georges était déjà présente à Prény au XVIIe siècle.
Ce plan est tiré de la monographie de la commune de Prény rédigée en 1888 par Monsieur Jullier, instituteur de ce village. Publié dans le numéro 128 (juillet 2012) de la revue Nos Villages lorrains à la fin de l'article intitulé "La rente de la pierre".
Cette carte postale fut éditée par J. Caron de Pagny-sur-Moselle.
Cette photographie fut prise par les Allemands lors de l'occupation de 1914-1918.
Le 5 août 1932, le préfet de Meurthe-et-Moselle avait proposé au conseil municipal de classer le site de Prény, c'est-à-dire la côte de Prény, le château et le village, en site naturel. Les élus locaux donnèrent leur accord le 19 février 1933 mais sous certaines conditions.
Cette photographie fut prise en 1956 à l'occasion d'une fête religieuse, peut-être "Mai, mois de Marie", ou, plus certainement, "La sainte-enfance" devant le calvaire Georges des Aulnois. Nous pouvons reconnaître Annette Van Meel à gauche et Marie-Luce Bazaille à droite qui encadrent les enfants ; dans le fond, madame Maclot qui apprenait le catéchisme à ces petits paroissiens. Parmi ces derniers nous pouvons distinguer les premiers rangs : Bernard Bazaille, Jean-Luc Viscat, Claudie Fabiszack, André Demicheli, Jean-Marie Van Meel, Claude Maclot, Gérard Van Meel, Christian Simony, Félicien Demicheli et les frères Toniolo. Dans le fond nous pouvons apercevoir Michelle Schmitt et son frère ainsi que Michelle Demicheli.
Carte postale envoyée de Prény en 1932 par Madame Vigneurt. La photographie a été prise entre 1922 et 1932.
Le 8 août 1923 se mariaient à Prény Paul-Adelphe Viscat, chauffeur à la Compagnie des Chemins de fer de l'Est, et Albertine-Louise Nivolet, domiciliée chez son père Joseph Nivolet, vigneron à Prény. Les témoins étaient Charles Bazaille, vigneron à Prény et beau-frère de la mariée ; René Engler, collègue du marié. Parmi les personnes figurant sur la photo de mariage, nous pouvons reconnaître des membres des familles Viscat, Nivolet, Bazaille, Caye, Georgin, Genot, Lambert, Régnier et Lemoine. Au premier plan, le garçon assis n'est autre que le futur abbé Maurice Régnier décédé le 8 juin 2005 ; et la petite fille également assise est Annette Lemoine, la maman de l'ancien maire de Pagny, Christiane Contal.
Au milieu du XVIIIe siècle, les archives confirment la présence de plusieurs puits dans le village. La communauté villageoise devait se charger de leur entretien et de leur réfection comme ce fut encore le cas en avril 1789. Sur cette photographie, nous pouvons distinguer le puits de la rue Mandeguerre, anciennement dénommée rue Basse, aménagé au début du XIXe siècle. (Cliché août 1999)
L'ancienne rue Basse du vieux bourg fut nommée rue Mandeguerre après 1977. (Cliché mars 2012)
Le 20 avril 1743, François Cacheté, curé de Prény jusqu'en 1752, année de son décès, confessait dans une lettre avoir reçu de Charles Benoit, syndic de Prény, la somme de 95 livres 18 sols, pour ce qui restait à payer des dépenses occasionnées par le procès qui l'avait opposé à la communauté villageoise de Prény, six années auparavant, concernant la rénovation du clocher de l'église de Prény. (La communauté villageoise de Prény au XVIIIème siècle ; A.D.M.-M. C 450)
Ce plan dressé le 24 mai 1751 présente la façade du presbytère, l'actuel 23 rue Mandeguerre. Rentré en fonction le 2 septembre 1752, le nouveau curé, Claude Caesar Barthélemy, envoya un courrier daté du 5 juillet 1753 à l'intendant de Lorraine, Chaumont de la Galaizière, afin que ce dernier ordonne à la communauté villageoise de Prény d'entreprendre les réparations nécessaires pour rétablir les caves, alors remplies d'eau, la grange et le grenier si précieux pour la conservation des récoltes de la cure. (La communauté villageoise de prény au XVIIIème siècle. Document A.D.M.-M. C 450)
Si nous comparons la façade de l'ancien presbytère avec son plan dressé le 24 mai 1751, nous constatons qu'elle est pratiquement identique, une seule ouverture ayant été percée en plus au-dessus de l'ancienne porte de grange. Les portes et fenêtres étaient surmontées d'un linteau délardé, typique du début du XVIIIe siècle. Aujourd'hui, ces formes incurvées ont disparu, les lignes droites ayant été privilégiées. (Cliché juillet 2019)
Depuis le début du XXe siècle, l'ancien presbytère ne sert plus de logis à un curé mais a été divisé en plusieurs appartements. Ce bâtiment est régulièrement entretenu par la commune. Ainsi, en décembre 1947, le conseil municipal vota l'achat d'un évier en pierre pour l'appartement du premier étage. (Cliché juillet 2019)
Ce plan dressé le 24 mai 1751 présente l'intérieur du presbytère, l'actuel 23 rue Mandeguerre. Le curé de Prény devenant également curé de Pagny après la Grande guerre, cette résidence fut abandonnée au profit du presbytère de Pagny et la commune de Prény en fit trois appartements proposés à la location. De nos jours, l'ancien presbytère abrite également la petite bibliothèque de Prény. (La communauté villageoise de Prény au XVIIIème siècle. Document A.D.M.-M. C 450)
Sur cette photo datant des années 1950, nous pouvons reconnaître le couple Cuillere, Alice Caye et Alfred Calba. (Collection Michel Ney)
Au début du XXe siècle, le café Belle vue était tenu par les frères Muller originaires d'Hambach. Cet établissement assumait alors également les fonctions de restaurant et d'hôtel. L'aîné, Pierre, se déclarait hôtelier ; le cadet, Joseph, garçon de salle.
Pendant bien des années, la grande salle de l'ancien café Belle-Vue servit de théâtre aux différentes adjudications de terrains, vergers, pâtures, bois et maisons offerts aux plus offrants. Les amateurs et les curieux y étaient alors fort nombreux. Sur cette carte postale éditée vers 1925, nous pouvons notamment reconnaître Monsieur Parachini, Alfred Calba et Gisèle Cuillère.
La rue des Remparts et l'église Saint-Pierre reconstruite en 1923-1924 dans un style néo-roman.
La rue des Remparts, baptisée ainsi après 1977, fait référence aux remparts du château la dominant. Sous l'Ancien Régime, elle était la rue Haute du vieux bourg. Au début du XIXe siècle, elle était appelée, tout simplement, Grande rue. (Cliché décembre 2020)
"À travers les branches", nous apercevons le clocher de l'église de Prény, édifice reconstruit en 1924 après sa destruction par les Allemands en 1918.
À l'issue du Premier conflit mondial, l'église Saint-Pierre n'était plus qu'un amas de ruine, détruite par l'explosion d'un fourneau de mine creusé par les Allemands peu avant leur départ en novembre 1918. Cette photographie fut prise à la fin de l'année 1918 ou au début de l'année 1919. Nous pouvons y apercevoir deux femmes en compagnie de militaires français de la 39e division d'infanterie ayant pris la relève des troupes américaines le 14 novembre 1918.
Lors de leur départ en novembre 1918, les Allemands creusèrent un fourneau de mine à quatre ou cinq mètres sous le sol de l'église qui fut complètement détruite. Cet amas de pierres et de charpentes était destiné à obstruer les voies de communication afin de couvrir leur retraite.