En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Cette partie de carte, extraite de la carte de la Lorraine et du Barrois dressée pour la lecture du mémoire de M. Durival l'ainé et dédiée au roi de Pologne, duc de Lorraine et de Bar, Stanislas Leszczynski, fut réalisée en 1756 par Didier Robert de Vaugondy, géographe ordinaire du roi, et de sa Majesté polonaise, associé de l'académie royale des sciences et belles-lettres de Nancy. Elle représentait les États du duc de Lorraine suivant la nouvelle création des bailliages faite en 1751. Le bailliage de Pont-à-Mousson, auquel avait été mêlées des parties de l'ancien duché de Lorraine, comme la prévôté de Prény, relevait alors du Barrois non mouvant. (La communauté villageoise de Prény au XVIIIème siècle ; 2000)
Plusieurs personnes reprochant à la ville de Pont-à-Mousson de vouloir faire porter par les communes du canton une partie de l'amende de 200 000 francs lui ayant été imposée, le maire de Pont-à-Mousson, Joseph Magot de Rogéville adressait, le 11 octobre 1870, un courrier au maire de Pagny-sur-Moselle, Édouard Edmond Georges des Aulnois, indiquant que cette opinion était erronée et que cette décision émanait de la seule volonté de l'autorité militaire allemande.
Sur ordre du commandant militaire allemand de la place de Pont-à-Mousson, le maire de la cité de Duroc, Joseph Magot de Rogéville, adressait le 3 novembre 1870 au maire de Pagny-sur-Moselle, Édouard Edmond Georges des Aulnois, une lettre dans laquelle était indiqué que toutes les communes du canton avaient trois jours pour payer leur part de l'amende de 200 000 francs, soit "samedi prochain à sept heures du soir dernier délai". Cet ultimatum rappelait à l'ordre les communes récalcitrantes à payer une amende qu'elles considéraient devoir être supportée uniquement par la ville de Pont-à-Mousson.
Le 7 novembre 1870, le lieutenant-colonel Von Schoenholtz, de la commandanture de Pont-à-Mousson, confirmait que chaque commune du canton de Pont-à-Mousson était soumise au paiement de l'amende dont avait été puni ce canton à la suite de coups de feu tirés dans les communes environnantes par des francs-tireurs contre des soldats prussiens.
La version allemande de la mise au point de l'Oberstleutnant von Schoenholtz obligeant toutes les communes du canton de Pont-à-Mousson à participer au paiement de l'amende de 200 000 francs.
Le 12ème régiment de dragons en parade sur la Place Duroc au début du XXème siècle. Alors en garnison à Pont-à-Mousson, ce régiment avait été créé en 1791. Il était l'héritier du régiment d'Artois créé en 1675 à Maastricht par le marquis de Bretesche.
Devant la fontaine érigée en 1931 au centre de la Place Duroc, en reconnaissance aux ambulanciers volontaires américains qui servirent dans l'est de la France entre 1915 et 1917. (Cliché août 2009)
Passage de la péniche "Alabama" sur la Moselle devant le lycée Bardot, ancienne école supérieure de jeunes filles, construit à l'emplacement de l'ancien couvent des Antonistes. À gauche, nous pouvons apercevoir les anciennes halles du XIXème siècle.
Gravure représentant le pont et le quartier Saint-Martin tirée de "La France pittoresque ou description pittoresque, topographique et statistique des départements et colonies de la France", tome 2- département de la Meurthe, d'Abel Hugo, et qui date de 1835.
Façade de l'église abbatiale de Sainte-Marie-Majeure. Cette abbaye de l'ordre des Prémontrés fut construite entre 1705 et 1735 en remplacement de celle du XVIIème siècle détruite pendant la guerre de Trente ans.
La galerie Saint-Martin conduit à l'église abbatiale.
Les voûtes de la salle des stations, ancienne sacristie mineure pour les novices et scolastiques, retombent sur des colonnes cannelées et rudentées.
Trompe-l'oeil dans la salle du chauffoir des Chanoines.
Le cloître entouré de trois galeries et par l'église abbatiale sur son quatrième côté.