Onville
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La poste
Onville dispose d'un bureau de poste bordant la Départementale 952, autrefois route nationale. D'une certaine manière, il perpétue l'ancien relais de la poste aux chevaux cité en 1650 situé sur la route menant de la Franche-Comté au Luxembourg alors territoires espagnols. (Cliché décembre 2018)
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Le pont sur le Rupt-de-Mad
Le vieux pont d'Onville permettant de traverser le Rupt-de-Mad. Des documents conservés aux archives départementales de Meurthe-et-Moselle nous apprennent que le pont bénéficia de réparations dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle. (Cliché février 2021)
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La pêche autrefois
Au XVIIIe siècle, la pêche dans le Rupt-de-Mad était soumise à adjudication. Celui qui offrait la plus grosse somme d'argent remportait l'enchère et le droit de pêcher. (Septembre 2012)
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Tragique noyade en 1911
Malgré son apparence paisible, le Rupt-de-Mad a toujours été dangereux pour les baigneurs. Tel ce jour du 19 août 1911 où quatre habitants d'Onville, Monsieur Marson, 40 ans, et son fils, Adrien, 18 ans, ainsi que Camille Chavigny et Lucien Cocher, tous deux âgés de 18 ans, perdirent pied et se noyèrent. (Cliché septembre 2012)
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Un lien entre les deux parties du village
Le pont enjambant le Rupt-de-Mad permet de relier la salle des fêtes Odonis villa et le quartier de la gare au reste du village. (Cliché février 2021)
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Le terrain de pétanque
À la suite de demandes émanant de nombreux habitants, la municipalité a décidé de créer un terrain de pétanque à proximité de la salle Odonis villa. Les travaux furent réalisés en avril 2021 par l'entreprise Viriot-Meyer basée à Flirey.
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La salle Odonis villa
La salle polyvalente Odonis villa a été construite en 2010 au lieu-dit Pied du pont. Elle peut accueillir 150 personnes assises. Elle a été baptisée du nom le plus ancien connu de la localité, Odonis villa, c'est-à-dire de domaine d'Odon, chef franc s'étant installé sur le territoire de la commune avec son clan au Ve siècle après Jésus-Christ. (Cliché juin 2020)
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La gare au début du XXe siècle
Gérée par la Compagnie des chemins de fer de l'Est, la gare d'Onville était notamment utilisée comme voie de garage pour de nombreux trains qui pouvaient partir vers plusieurs directions, c'est-à-dire Thiaucourt, Pagny-sur-Moselle puis Nancy, ou encore Longwy.
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La gare
La gare d'Onville, au début du XXème siècle, était desservie par "l'express" Onville-Thiaucourt, "coucou" appartenant à la compagnie des chemins de fer de l'Est, composé d'une locomotive et d'un seul wagon qui faisait une halte à la gare de Rembercourt-sur-Mad.
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La gare occupée par les Allemands
Occupé dès le début du mois d'août 1914, le village d'Onville dut vivre pendant quatre longues années sous la loi imposée par les militaires allemands. Les trains, venant de Metz, circulaient jusqu'à la gare d'Onville et, par conséquent, le transport du ravitaillement s'effectuait par voie ferrée ce qui réduisait les frais au strict minimum. Monsieur Mamelet, ancien chef de gare, s'occupait de la répartition des vivres. De plus, des équipes formées avec des hommes du village étaient employées sur la voie de chemin de fer.
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La départementale 952
En 1972, la route nationale 52 bis, reliant Villers-la-Montagne à Pont-à-Mousson, devenait la route départementale 952. Cette route avait été créée par la loi du 15 juin 1878. Auparavant, ce tronçon passant par la vallée du Rupt-de-Mad était dénommé route de Metz à Thiaucourt. (Cliché octobre 2023)
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Rue de la route nationale
En suivant la départementale 952 en provenance du village voisin de Waville, nous entrons dans la rue de la route nationale. La route nationale 52 bis, entre Onville et Briey bénéficia de travaux à la fin des années 1880 dont le coût avait été évalué à 302 400 francs. Au 1er janvier 1888, il restait à effectuer pour 33 600 francs de travaux. (Cliché mars 2021)
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Notre-Dame-du-Rupt-de-Mad
Le monument de Notre-Dame-du-Rupt-de-Mad borde la départementale 952 à la sortie d'Onville, en allant vers Waville. (Cliché septembre 2015)
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Un monument érigé en 1946
Le monument dédié à Notre-Dame-du-Rupt-de-Mad a été érigé en 1946 par le sculpteur Georges Acker à la suite du voeu de l'abbé Drouet, curé d'Onville, pour remercier la Vierge d'avoir protégé la vallée du Rupt-de-Mad lors de la Deuxième guerre mondiale. (Cliché septembre 2015)