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Le monument des fusillés du Rupt-de-Mad fut inauguré le 12 octobre 1930 en présence des personnalités officielles et d'une foule innombrable. (Cliché août 2013)
L'entrée du village en venant d'Arnaville, voisin oriental de Bayonville. À gauche, nous pouvons apercevoir la cheminée de la "Pasek", fabrique spécialisée dans la confection de bétons réfractaires qui succéda en 1957 à une clouterie avant de fermer ses portes en 2002.
Créée à la fin des années 1950, la Pasek, société spécialisée dans la fabrication de béton destiné à la construction d'ouvrage d'art, a été mise en liquidation judiciaire le 24 février 2004. (Cliché décembre 2018)
Avant l'installation de la société Pasek à la fin des années 1950, ce site, situé à l'entrée de Bayonville, en venant d'Arnaville, avait déjà une fonction industrielle puisqu'un moulin à tan y fut construit en 1808 avant l'installation d'une tannerie en 1824. En 1888, les bâtiments furent reconvertis en scierie et saboterie puis étendus en 1921 pour accueillir une tréfilerie et clouterie fermées en 1958. (Cliché décembre 2018)
En 1888, l'ancienne tannerie du Pilan, fermée en 1884, devenait une usine de galoches et scierie dirigée par Monsieur Dantony. Partiellement détruite en mai 1892 par un incendie, elle devint la propriété de Monsieur Mangin-Mercier, domicilié à Novéant-sur-Moselle, avant d'être acquise en 1913 par René Thouvenot. L'activité de cet établissement ne fut pas interrompue par l'arrivée des Allemands en août 1914. Elle fonctionna jusqu'à l'épuisement des matières premières en février 1917. Le matériel et les machines furent alors emportés en Allemagne. En 1921, elle fut acquise par un industriel vosgien qui la transforma en clouterie dont l'activité débuta en 1923.
Régulièrement la section kayak de l'association des Chanterelles, basée à Waville, organise des promenades sur le Rupt-de-Mad. En ce 31 juillet 2019, c'était une initiation qui était proposée dans le cadre du Mondial Air Ballons.
Située à l'entrée du village, en venant d'Arnaville, la rue de Biard portait encore en 1823 son nom de rue d'Ambia. On retrouve la dénomination "Biard" sur les plans au début du XXe siècle. (Cliché juin 2020)
La mairie, dont la construction fut achevée en 1923, et le centre multi-accueil intercommunal Ô comme trois pommes qui, en 2010, a été installé dans les locaux de l'ancienne école. (Cliché mars 2019)
Le nom de cette rue était orthographié "Maiville" au début du XIXème siècle. Cliché août 2013.
Située dans la rue de Méville, la Brasserie de la vallée n'est pas qu'un simple bar-tabac puisque cet établissement propose également une restauration avec plat du jour ainsi que des formules petits-déjeuners. (Cliché mars 2019)
Le clocher-tour roman, édifié au XIIe siècle, se trouvait au centre de l'aître fortifié. Il faisait face à l'étroite ruelle bordée de grosses maisons dont les deux extrémités étaient fermées chacune par une porte. Des archères et meurtrières y avaient été percées du côté de cette entrée, à l'ouest, et du côté sud renforçant ainsi le petit fort érigé au sud-ouest de l'aître à l'instigation du duc de Lorraine. (Cliché juin 2020)
L'église Saint-Julien, avec sa tour romane fortifiée datant du XIIe siècle se dressant au centre d'un aître fortifié en forme de fer à cheval dont subsiste des maisonnettes du XIIIe siècle et des celliers remontant à l'époque gallo-romaine, reçoit fréquemment la visite de touristes curieux de découvrir cette particularité des villages de la vallée du Rupt-de-Mad. (Cliché juillet 2019)
Dans le fond de l'aître fortifié présentant une forme de fer à cheval, en sa partie la plus fermée, nous pouvons distinguer de petites maisons bâties au XIIIe siècle, caractéristiques des habitats vinicoles. Ces bâtisses étaient dotées de celliers permettant de conserver la production de vin des petits propriétaires vignerons de Bayonville. (Cliché juin 2020)
Occupé par les Allemands dès août 1914, Bayonville ne comptait plus que 250 habitants au 1er janvier 1917, beaucoup ayant quitté le village pour se réfugier dans la France de l'intérieure. Les troupes d'occupation étaient alors surtout composées d'auxiliaires employés aux abattoirs ou scieries du village. Le nombre des Allemands variait de 500 à 1000.
Autrefois, les sorcières étaient fort redoutées. Pour se protéger de leurs mauvais sorts, les anciens avaient imaginé quelques parades telle cette défense coupant une petite fenêtre en deux. Surmontée d'une croix de Lorraine, elle est protégée par un barreau de fer à ergots dénommé "balais de sorcières" dont la fonction consiste à empêcher les sorcières d'entrer dans la maison pour y jeter le mauvais sort. On peut l'apercevoir perçant la façade de l'une des maisons de la rue de Méville. (Cliché août 2013)
Cliché pris en août 2013 du pont datant du XVIIème siècle enjambant le Rupt-de-Mad. Il a bénéficié d'une restauration en 2004.
Symbole de l'amour et de la fidélité dans la culture occidentale, le cygne affectionne les plans d'eau calmes avec des berges peu profondes dotées de nombreuses plantes émergentes. Il est fréquent d'apercevoir les cygnes évoluer par couples. Ceux-ci se forment généralement en automne ou en hiver et restent habituellement unis pour la vie même s'ils attendent un an avant de se reproduire. (Cliché mars 2020)
Le Rupt-de-Mad peut connaître d'impressionnantes crues. Ainsi, celle du 26 novembre 1882 fut si terrible que les eaux débordaient le pont de chaque côté. Malgré le danger, le jeune Petit, de Saint-Julien-les-Gorze, après avoir traversé la route inondée, s'engagea avec son cheval dans la rivière et fut emporté par le courant. Son corps ne fut retrouvé que quelques jours plus tard, en aval, à Arnaville. (Cliché août 2013)
L'ancienne place des fêtes du village, accueillant notamment lors de la fête patronale organisée au mois d'août les manèges et autres stands, est située derrière les maisons de la rue de biard. Elle borde les rives du Rupt-de-Mad. (Cliché décembre 2018)
Pendant longtemps, la fête patronale de saint Julien était célébrée le dernier dimanche du mois d'août au centre du village. En 1965, la municipalité décida de transférer le lieu des festivités sur la place située entre la rue de Biard et le Rupt-de-Mad. (Cliché décembre 2018)
La place des fêtes était encore au début du XXe siècle un lieu d'herbage. Cette terre communale était alors dénommée le "Pré derrière Biard". (Cliché décembre 2018)
En 2020, la municipalité a pris la décision de refaire à neuf la Place des fêtes. Les travaux se sont déroulés en plusieurs phases, de la fin de l'hiver 2020 au printemps 2021. La création d'espaces verts a complétement changé sa physionomie. (Cliché mai 2021)
Peuplé par l'homme dès le Néolithique, Bayonville doit son nom à un chef franc qui, avec sa bande, s'empara de cette ancienne villa gallo-romaine. En 960, dans une confirmation de biens accordée par l'empereur du Saint Empire romain et germanique, Othon Ier, à l'abbaye messine de Saint-Pierre-aux-Nonains, nous le retrouvons cité sous la forme "Baionisvillam". La localité dépendait alors du comté de Scarpone. (Cliché décembre 2018)
À la base du clocher, une plaque a été apposée afin de rappeler le souvenir des seize militaires du village tués lors de la Première guerre mondiale. (Cliché août 2013)
La tombe d'Édouard Viscat, né le 30 mars 1894 à Bayonville, et de son père Victor François Viscat. Incorporé à la 11ème compagnie du 159ème régiment d'infanterie lors de la déclaration de guerre du 3 août 1914, Édouard Viscat fut tué lors de l'attaque menée par son régiment le 26 septembre 1915 à Souchez dans le Pas-de-Calais. (Cliché août 2013)
Sur la tombe de la famille Gravier, nous pouvons apercevoir une plaque rappelant le souvenir de Marie Léon Gabriel Gravier, né le 11 février 1897 à Contrexéville. Intégré en 1917 dans le 7ème régiment d'artillerie de campagne au grade de deuxième canonnier servant, il fut tué le 29 juillet 1918, à 500 mètres à l'est du moulin du comte, à proximité de Villers-Hélon, dans l'Aisne, alors que son régiment appuyait la progression de l'infanterie lors de la contre-offensive alliée qui se déroula du 18 juillet au 6 août 1918, appelée deuxième bataille de la Marne. (Cliché août 2013)
Enseigne du consulat honoraire de Belgique situé au 4 rue des roches. Monsieur le consul, Lambert Rutten, peut être contacté par téléphone au 0383818748, par fax au 0383818336 ou encore à ce courriel, consubelmetz@wanadoo.fr. (Cliché août 2013)
La scierie du Rupt-de-Mad, rachetée en 1987 par Bert Rutten, est spécialisée dans la transformation de bois pour les professionnels et les particuliers. Elle fabrique des planches de toute largeur et de toute longueur exportées dans le monde entier. (Cliché mai 2021)
Les grumes de bois sciées et triées selon leur qualité par la scierie du Rupt-de-Mad sont ensuite stockées à l'air libre afin d'assurer un pré-séchage entièrement naturel. (Cliché décembre 2018)
Né le 19 février 1762 à Bayonville, Jean Dominque Claudin rejoignit l'armée le 13 janvier 1782, date à laquelle il fut intégré au 1er régiment d'artillerie à pied. À la suite de l'éclatement de la Révolution en France, il participa aux campagnes militaires du nouveau régime puis du Ier Empire, parcourant des milliers de kilomètres à travers l'Europe. Au lendemain de la bataille de Friedland, lors de laquelle l'action de son régiment fut déterminante pour remporter la victoire contre les Russes, il fut nommé chevalier de la Légion d'honneur, le 11 juillet 1807. Le 4 septembre 1814, le capitaine Claudin prenait sa retraite. Il décéda le 3 mai 1836 en son domicile de Pont-à-Mousson. (Document Archives nationales ; Leonore ; LH/544/16)
Cette voie menant à l'ancien moulin banal du village était encore en 1823 une portion de la rue de Méville. (Cliché novembre 2019)
En empruntant la Départementale 952, venant de Onville, nous entrons à Bayonville dans la rue de Méville qui traverse le village jusqu'à la rue de Biard. (Cliché février 2019)