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Jean Guinet, dit "la forest" décéda le 29 novembre 1734, âgé d'environ 81 ans. Son épouse, Jeanne Riaville, rendit son âme quelques mois plus tard, le 4 avril, et fut inhumée dès le lendemain. Elle était âgée d'environ 77 ans. (Cliché juillet 2014)
Cette plaque mortuaire se trouve dans l'église d'Arry. Christienne de Procheville avait épousé en 1688 Louis Leboeuf de Millet, écuyer anobli le 28 novembre 1701 par le duc de Lorraine, Léopold. Décédée le 2 mars 1715, à l'âge de 57 ans, elle était la fille de l'écuyer Claude Estienne de Procheville, capitaine des cuirassiers dans le régiment de Ligniville au service du duc de Lorraine Charles IV, et d'Anne Tissier. (Cliché juillet 2014)
En arrière-plan, la chapelle de la Vierge, édifiée en retrait et moins haute que le choeur, construite sous voûtes en arêtes vers le XIVème siècle et illuminée par des baies à lancettes. En avant-plan, la statue de sainte Agathe. (Cliché juillet 2014)
Cette plaque accolée à la façade de la mairie est dédiée aux victimes de la guerre. Elle remplace le monument aux morts réalisé en 1928 et détruit lors des violents combats de la Libération en septembre 1944. (Cliché juillet 2014)
À Arry, commune annexée à l'Allemagne entre 1871 et 1918, nous ne trouvons pas de monument aux morts rendant hommage aux victimes de la Grande guerre mais une simple plaque accolée au mur de la façade de la mairie. Pour cette raison, les hommes tombés au champ d'honneur ne sont pas déclarés "morts pour la France" puisqu'ils portaient, pour la plupart, l'uniforme allemand. Parmi les quinze enfants que perdit "Arrich" lors ce conflit, deux avaient servi sous le drapeau français. (Cliché juillet 2014)
Dans son édition du mercredi 12 août 1953, le Républicain lorrain annonçait une petite récolte de mirabelles. Ceci était dû aux conditions climatiques et aux attaques de la cochenille. La récolte ne représentait que le quart des années précédentes. La Suisse restait alors le seul débouché possible pour l'exportation, les mirabelles y étant envoyées encore dures et peu jaunes. Depuis 1949, l'Angleterre n'en achetait plus, le prix de revient étant trop élevé avec les envois par avion.