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Sur le vitrail du monument funéraire de la famille Humbert, figure le portrait du capitaine François Jules Humbert né le 8 mars 1832 à Metz, décédé le 15 août 1897 à Arnaville, lieu de sa retraite. Ce militaire intégra l'armée le 11 décembre 1849 en rejoignant le 70e régiment d'infanterie comme simple soldat. En 1854, il stationna en Algérie avant d'être muté le 24 juillet 1856 au 3e régiment des grenadiers de la Garde. Sergent-major, il est blessé à Magenta le 4 juin 1856. Promu chevalier de la Légion d'honneur le 22 décembre 1866, alors qu'il était sous-lieutenant au 2e régiment de la Garde Impériale, il fut à nouveau blessé à Rezonville, le 16 août 1870, par un éclat d'obus prussien. (Cliché mars 2012)
L'entrée d'Arnaville, sur la départementale 952, en venant de Bayonville-sur-Mad. (Cliché mars 2012)
Sur cette face du monument aux morts est gravé le mot "Reconnaissance". En-dessous, les noms des cinq soldats originaires d'Arnaville tombés pendant la seconde guerre mondiale ainsi que ceux des neuf victimes civiles. Cette plaque de marbre fut posée, lors d'une cérémonie, le 8 mai 1948. (Cliché mars 2012)
En avril 1968 débutaient les travaux de construction d'un barrage sur le Rupt-de-Mad, affluent de la Moselle, afin de retenir une réserve d'eau destinée à alimenter la ville de Metz. Ce barrage a la capacité de retenir jusqu'à 330 000 m3 d'eau qui, contenant naturellement du fluor, du calcium, du magnésium et d'autres éléments essentiels à la santé de notre organisme, est de grande qualité.
Dans les années 1950, Arnaville était une destination prisée par diverses associations et comités d'établissement d'entreprises qui y envoyaient en colonie enfants et adolescents. Sur cette photo de l'Est Républicain du 17 juillet 1959, nous pouvons reconnaître les colons de l'Association familiale de Fresnes-en-Woëvre dirigée par l'abbé Lamousse.
Né à Arnaville le 6 janvier 1773, Pierre Hellée se distingua au service de la France. Il rejoignit l'armée le 23 avril 1793 en intégrant la 23e demi-brigade d'infanterie de ligne. Blessé d'un coup de feu et d'un coup de sabre devant Zürich, le 2 avril 1799, il fut ensuite reversé dans la gendarmerie. Le 23 mai 1825, le roi Charles X le nommait chevalier de la Légion d'honneur avant de lui accorder, le 28 octobre 1826, une pension de retraite. (Document archives nationales ; Leonore; LH/1279/40)